Je l’ai peut-être déjà dit mille fois : quand ChatGPT est sorti, j’étais carrément sceptique face à tout ce battage médiatique. Au début, impossible d’y accéder, donc je regardais tout ça de loin. Mais à force de voir les gens partager leurs conversations en ligne, la curiosité m’a gagné. J’ai fait le coup du VPN, acheté un numéro étranger pour valider mon compte, et enfin, j’ai pu mettre les mains dedans.

Et là, je me suis dit : Mais c’est quoi ce délire ? C’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. Les gens nous racontaient des bobards ou quoi ? 🤔

En fait, pas vraiment. Ils nous montraient juste le meilleur - ces moments où l’IA cartonnait vraiment. L’autre face de la médaille, on l’a découverte que plus tard.

Mais soyons honnêtes, j’ai peut-être zappé un peu vite les posts qui pointaient du doigt ses défauts. Y en avait plein qui le traitaient de “débile” dans certains contextes, mais j’ai préféré me concentrer sur ce qu’il pouvait faire de cool.

🚀 Coder avec ChatGPT

Contrairement à ce qu’on voit sur YouTube ou X (l’ancien Twitter), je ne compte pas sur l’IA pour tout faire - parce que franchement, elle en est incapable. Essayer de tout lui confier, c’est le meilleur moyen de péter un câble. Ou de faire une crise cardiaque.

Je l’utilise surtout pour booster mes recherches Google, ça m’évite de perdre des plombes à éplucher les résultats. Parfois, je lui demande de me pondre du code ou du texte, mais sans m’attendre à ce qu’elle fasse tout le taf ou que ce soit parfait. C’est un coup de main, pas un remplaçant pour le vrai boulot.

🧠 Coder avec Claude

Claude, de chez Anthropic, c’est plutôt mon plan B, quand ChatGPT galère sur un truc, et vice versa. Jusqu’à récemment, j’étais plutôt team ChatGPT, mais depuis que Claude a réussi à résoudre un truc que ChatGPT n’arrivait pas à faire, je le vois différemment comme assistant de code.

🤔 La différence, elle est où ?

Voilà où ça devient intéressant : quand ChatGPT ne sait pas un truc, il te sort quand même une réponse, coûte que coûte. Il assemble des bouts de phrases qu’il a dû voir sur le web, mais j’ai l’impression qu’il ne réfléchit pas vraiment au problème - c’est comme s’il suivait bêtement une recette.

Claude, lui, c’est une autre histoire. Même quand il sèche, on sent qu’il réfléchit avec toi. Il essaie d’aider en donnant des explications qui montrent qu’il a vraiment capté le souci en profondeur.

Pas pour frimer ou quoi - c’est plus authentique. Claude aborde les problèmes comme un vrai expert, il détaille, il explique, il te permet de voir le problème sous différents angles.

Est-ce qu’il se plante aussi ? Carrément, et souvent. Mais même là, il arrive généralement à me donner un truc utile - une perspective à laquelle j’avais pas pensé - qui m’aide à trouver la solution tout seul.

⚔️ L’IA, cette arme à double tranchant

Ces modèles d’IA nous font gagner du temps, mais ils nous entraînent aussi dans des sacrés tunnels. En tant qu’humains (je parle pour moi), on a tendance à croire que nos méthodes habituelles vont nous mener au but. Mais maintenant, avec l’IA dans l’équation, on s’appuie de plus en plus sur elle. Même quand on tombe sur un os qu’elle peut pas résoudre, on s’accroche, on la traîne avec nous en espérant qu’elle va nous sortir quelque chose d’utile.

C’est comme quand t’as une tâche que t’as vraiment pas envie d’attaquer - genre créer une landing page pour ton projet. Tu commences à scroller les templates à l’infini, et aucun te convient. Deux mois plus tard, tu te retrouves le nez sur ton clavier, à pondre une version moyenne de ce que t’avais imaginé. 😅

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